Personne eut son adolescence avant tout le monde, et ce qui le sauva, ce fut le désespoir farfelu de quelques maîtres à repenser. En particulier ce cher Boris Vian ! Voici un enregistrement inédit pour les promeneurs et promeneuses alentour de mes ébouriffements internautiques :
Une fois de plus ennuagé jusqu'au non-être, j'ai malgré moi pianoté la partition du renaître. Et grâce au chef-d’œuvre de Paul Mc Cartney, difficile même pour personne de ne pas se sentir revivre. Mais je me laisse pleuvoir et vous laisse avec cette reprise électrique.
Voilà, c'est pas fini. D'autres histoires sur la toile. De temps en temps. Qu'importent les semaines pourvu qu'il y ait l'ivresse. Quoique. Sur l'idoine lieu, c'est bien chaque semaine que mr Pessoa se conte et se raconte. Alors ? A la semaine prochaine, pardi !
Le labeur et la torture m'ont broyé les gonades temporelles et ainsi je me perds en atermoiements toujours réitérés ! Mais chaque semaine cependant parait ma nouvelle histoire venue de nulle part et donc de partout, Terre des Hommes, Terre de Personne ! Et voici la dernière avec le plus prononcé de mes retards, c'est comme ça : La Ferme des animaux