Je préviens les âmes sensibles : le film réalisé par F. Nowan est d'une nature susceptible de les traumatiser à vie. Pour ma part, si j'ai réussi à visionner le film intégralement, c'est grâce à cette astuce mesquine : j'ai fractionné le film en plusieurs séances de quelques secondes, espacées à chaque fois de plusieurs jours. J'ai pratiqué de l'exercice cosmo-pranique pour renforcer mon mental et j'ai suivi une bonne douzaine de séances salutaires avec un très bon psychiatre. Ainsi, je n'ai zà déplorer que quelques cauchemars récurrents qui m'ont rendu insomniaque, et un léger maigrissement de vingt-cinq kilos. Mais trève de futilités, place au reportage :
Voici cette capture d'écran - une parmi les plus mignonnes - pour les esprits prudents qui préféreront s'abstenir de youtuber le reportage de F. Nowan :
Voici cette capture d'écran - une parmi les plus mignonnes - pour les esprits prudents qui préféreront s'abstenir de youtuber le reportage de F. Nowan :
Dear dj Pessoa,
RépondreSupprimerTHANKS !
Je rédécouvre mon propre film : la dernière fois que je l'ai vu, j'étais encore sous l'ivresse du champagne et de l'uranium. J'avais l'impression d'avoir mis l'accent sur la liesse industrielle et sur les fêtards du nucléaire, ces négriers du XXIème qui collectionnent des millions qui ne leur procurent plus aucun supplément de plaisir ou de pouvoir.
Maintenant que je suis dégrisé, je me rends compte que, malgré moi, j'ai rendu un hommage -excessif - à la multitude des complices rigolos de la fête : ces démembrés, ces ébouillantés, ces contaminés, ces innombrables viandes comiques qui alimentent le saint circuit de la finance.
"Dr Atom et Mr Fric" : j'ai trouvé le surnom un peu tiède, je suis déçu de moi-même.
A bientôt ami Pessoa, et encore merci.
Tout le plaisir était pour moi, Mr Nowan !
RépondreSupprimerVous êtes le bienvenu sur ce blog : des reportages comme le votre apportent une touche de finesse et de dérision que je suis bien incapable de générer, faible personne que je suis.
Du Jérôme Bosch dans le texte... Bravo !
RépondreSupprimerMerci de votre petit mot encourageant, amical visiteur.
RépondreSupprimerVivent les ukulélés!
RépondreSupprimer(#commentaireutile) ;)
Pierre