Si je suis né de la cuisse de Pessoa, ce sont les mêmes crachats qui perlent dans les bouches de Liu Bolin comme de Bibi. Cet artiste chinois, Liu Bollin, a choisi d'exprimer son néant par un art suprême du camouflage : j'aime ! L'artiste est né peu de temps après la destruction de son atelier par des autorités peu portées sur l'art et la liberté : ça rapporte peu d'argent, et fiche le bordel dans les défilés d'ouvriers. C'était en 2005 :
Depuis, Liu Bolin disparait dans la forêt comme dans la ville, dans les supermarchés comme dans les terrains vagues, libre ou entre les mains de la police, démonstration :
That's all Folks !
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Qu'enfin quelqu'un me quelque parte :