Dommage que chaque fois que je me trouve un chien, je tiens pas longtemps et je le bouffe pasque sinon, je serai déjà sur la route, libre, affamé, rugissant au badaud que je suis heureux, alors bin oui, dommage. Mon salut fraternel à ces déshérités que je plains autant que je les envie. Le documentaire est couci-couça, brodé superficiel à la mode du bon sou bon audimat, mais les personnages tirent tout ça vers le haut.
Ouaf !
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