Un peu de douceur en ce monde brutal, pour ne pas crever que comme des bêtes, quoi ! Entre la poésie de Youri Norstein et la poésie d'Edmond Jabès, nulle place sauf pour personne. Et voilà ce que ça donne, ou pas :
Pessoa ne cessera pas d'inexister, tenez-vous le pour non-dit !
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Qu'enfin quelqu'un me quelque parte :