vendredi 11 novembre 2016

Adieu mon âme




   La fissure s'est faite big-bang et le grand Leonard est devenu l'univers immense. Une fois de plus, me voici orphelin. Les mots et la voix, le geste et les pas, le cœur et la fêlure : il faut bien davantage qu'un homme pour faire vraiment un homme. Et c'est ça que je retrouvais dans Leonard Cohen.


 Bonne route là-haut et merci pour tout !




 

1 commentaire:

  1. Je l'avais vu en concert, fringant jeune homme de 75 ans. Çà m'arrivait de me réveiller en me disant que je vivais dans un monde où Léonard Cohen était vivant, j'y trouvais un réconfort tranquille. Maintenant, on doit continuer tout seul. Doodamdam, dadoodadoodamdam..

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Qu'enfin quelqu'un me quelque parte :