Il n'est plus questionne de sauver le monde, dixit el telephone. Il n'est même plus amusant d'espérer en quelque philanthrope alien ou quelque cybersagesse qui le sauverait, ce monde. On a prié beaucoup les astéroïdes, en vain. Et même si quelques séïsmes et tsunamis se sont gentiment joints à nos efforts, le résultat reste modeste : à part les charniers épars, hormis les membres démis, au mieux un carnaval d'organes surnuméraires autour des centrales : moi je dis bof ! Désormais, je mise sur les rétrovirus et autres microbabioles. Dans ce sens, j'ai confectionné ce jingle minimaliste pour un blog consanguin. Une manière comme une autre de relancer la vieille boîte à musique qui se désentraillera dans ce nulle-part.
Rétrovirus ? Mais ça pue pas un peu du cuss, ça ?
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