Réalisant soudain le noir abattement dans lequel Pessoa plongeait ses contemporains, il se rebiffa, il zuta la vie d'antan et, plein de joie, il s'élança vers la bonne chanson qui ne chante que pour vous plaire. Il était temps ! Mais trêve de charabie, place à cet hymne fleurant dru les réminiscences de super clochards.
N'importe quoi, ouais... Mais chouette quand même !
RépondreSupprimerN'importe qui s'adresse à personne, ce n'est pas rien ! Merci.
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