Déambulant dans le vaste monde, Pessoa s'enivre de l'uniformité : du nadir au zénith, Monsieur Sapiens s'enroule dans les mêmes textiles, fredonne les mêmes saucissons, reluque les mêmes bimbos, s'empiffre des mêmes boulettes, et ça c'est bon. Quelle ne fut donc pas ma stupeur de dénicher ce petit film blasphématoire à la gloire de l'homme imparfait et pitoyable de jadis ! Et quel ne fut pas mon désarroi lorsque Jack The Rida me confia son intention de me délivrer de petits films semblables pour illustrer ses rhapsodies philosophiques ! Décidément, ce monde est pour personne.
Eh bien l'ami Pessoa, je comprends pas :
RépondreSupprimeril est très beau ce film, à la gloire de l'homme authentique ! J'aimerais faire aussi grandiose pour l'oeuvrette que je t'envoie bientôt, cher dj.