Je ferme la porte entre les choses inconnues et les choses à personne, j'ouvre la huitième fenêtre, et voilà que je n'y vois plus goutte : c'est là, mon ami d'Internet, ma copine de la Houebe, que s'expliquent mon mutisme virtuel, ma disparition d'Icelui-Blog, mon trépa-tatras et autres sinistreries... L'odieux Billou frappoit encore et frapperoit toujours, et dans les courants d'air de ses funestes fenêtres, bien d'autres artistes se plégiqueront quelques temps avant de s'adapter à ce Sad WinWorld. Amen. Et merdre quoi !
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Qu'enfin quelqu'un me quelque parte :