lundi 20 juillet 2015

L'adieu




   Le texte était plus prosaïque et serein que ce que je lisais. Alors j'osai cette réinterprétation du côté de la mystique et de l'intranquillité. Que Bonnefoy me pardonne, je suis un pourceau de la poésie. Ah oui, je ne suis pas Personne pour Rien !











1 commentaire:

  1. L'intro est poilante. Mais ne prête guère à pardonner le crime de lèse-poésie. Vade Retro Perso !

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Qu'enfin quelqu'un me quelque parte :